lunes, 30 de noviembre de 2009

Une désillusion vague déformait et desteñía les sentiments et les joies auxquelles il était habitué. Le jardin n'avait pas déjà de parfum, le bois ne m'attirait pas; le monde était autour de moi un solde de vieilles choses, de petit-gris et sans attrait; les livres étaient poseurs et la musique le bruit. Ainsi tombent les feuilles d'un arbre automnal, sans qu'il il n'aille; la pluie, le soleil ou le froid glissent par son tronc, tandis que la vie se retire lentement au plus intime et plus secret. L'arbre ne meurt pas, il espère.

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